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1. |
L'abîme
04:33
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Souvent je frôle et je percute par convoitise l’abîme je le chahute
Ca se termine en une simple chute
Un peu sonné un peu moins juste
Souvent je frôle et je percute par convoitise l’abîme je le chahute
Le réveil se fait un peu plus brut
Un peu moins digne qu’une simple chute
Expulser, purger nos cotés indignes
Tentations mesquines, nos pulsions malignes
Chercher en nous même
Des visions plus saines
Encore je frôle et je m’abîme
Encore je franchis la ligne
Je cherche une preuve, une force, un signe
Toujours les ecchymoses s’inclinent
Expulser, purger nos cotés indignes
Tentations mesquines, nos pulsions malignes
Chercher en nous même
Des visions plus saines
C’est toujours dur de dire non aux maux qui attirent
C’est toujours dur de dire
C’est toujours dur de rire en se regardant souffrir
C’est toujours dur de rire
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2. |
Seuls Dans Nos Têtes
04:06
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Elle me dit, tu sais bien
Je n’y suis pour rien
Un peu lâche, je longe mon chemin
Je passe et je me lasse
Je recherche en vain
Sachant qu’il y aura une fin
Je m’éloigne
On s’éloigne
Pour moi tout ne sert à rien
Je ne veux pas voir trop loin
Surtout pas plus loin que demain
Je ne suis pas capable
De rester quand c’est bien
J’ai peur d’un simple quotidien
Seuls dans nos têtes
On ne peut pas vraiment
Faire d’or tout instant
Ceux qui vivent pour l’argent
Ceux qui veulent devenir grands
D’autres voir grandir leurs enfants
Donner sens aux tourments
Sentir tourner le vent
Projeter toujours plus en avant
Elle me dit, tu sais bien
Je n’y suis pour rien
Un peu lâche, je longe mon chemin
Je passe et ils trépassent
Je n’aurai jamais les miens
Sachant que toujours j’y mettrai fin
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3. |
Confiance
05:01
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La tête en vrac, les yeux pleins d’étoiles
A peine remis du spectacle
Au top de ma forme, j’ironise et donne
Ma version des meilleurs actes
je m’agite et danse dans tous les sens
Fier de ma vie si dense
Pas un instant, je prends conscience
Ma seule fin mon éloquence
J’attends en silence
J’écoute avec patience
Tout ce qu’on me balance
Le bon, le mauvais, dénués de sens
Je reprends ma danse
La tête au calme
Les yeux pleins de larmes
Sans doute mon vrai visage
au fond de mon âme
Se colmatent, se battent
Blessures, pensées maladroites
Je ne m’agite plus dans tous les sens
Quand chaque geste devient souffrance
Et tout le temps j’ai bien conscience
Que fin n’est pas éloquence
Ce que je fais, ce que je suis
J’attends en silence
J’écoute avec patience
Tout ce qu’on me balance
Le bon, le mauvais, dénués de sens
Je reprends ma danse
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4. |
De Clone En Clone
04:58
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Je ne sais pas je vous l’avoue
Ce que j’ai fait pour me trouver là
De plus en plus flou
Je n’ai pas été autre que moi
Encore une fois sur les genoux
Je me lève je n’aime pas être en bas
Prêt à changer tout
Être ce que je ne suis pas
Oui, j’irai jusqu’au bout
Corriger tics tocs et faux pas
Oui comme un fou
Aliéner par le fait d’être soi
Je peux être meilleur
Je peux changer la donne
Evoluer, aller voir ailleurs
Si le nouveau moi est un peu meilleur
Je me raisonne, j’oublie mon clone
J’ai beau savoir où sont mes erreurs
Je finis toujours par écouter mon cœur
Depuis que je suis môme
Je suis mon clone
Mise à jour à niveau
Ego système à zéro
Habillé d’une nouvelle peau
Bien choisie, pas vraiment schizo
J’avais oui, pourtant tout paramétré
Jeter, supprimer, fichiers erronés
Nouveau système plus perfectionné
On reste ce que l’on est
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5. |
Le Grand Démenti
05:14
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Ne rien dire parce qu’après tout : pas vu pas pris
Tant de vies qui subsistent sur des non dits
Le mensonge est dans la nature de l’homme
Je ne veux pas être un homme
Toutes les raisons sont bonnes
Je préfère qu’on m’assomme
Je sais tout et ou je pardonne
Je sais tout et ou j’abandonne
Mais je sais tout, je sais tout
Tu as toujours démenti
de peur de me voir partir
Pour me garder, maintenant c’est pire
J’en crève de n’avoir pas pu choisir
Ce qu’aurait été ma vie
Pour la première fois, je vais fuire
Belle manie de pactiser entre ennemis
Lâche et triste de jouer sans aucun risque
Je sais tout et ou je pardonne
Je sais tout et ou j’abandonne
Mais je sais tout, je sais tout
Tu as toujours démenti
de peur de me voir partir
Pour me garder, maintenant c’est pire
J’en crève de n’avoir pas pu choisir
Ce qu’aurait été ma vie
Pour la première fois, je vais fuire.
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6. |
Mon Idéal
04:40
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Il ne nous reste que les mots
C’est déjà mieux mais pas trop
Tous ces mots vrais ces mots faux
Qui sur tes lèvres étaient si beaux
Il ne me reste que les maux
Des maux qui en disent bien trop
Sur ce que je veux, ce que je vaux
Ne pas oublier ces maux
Je n’ai plus peur d’avoir mal
Toute souffrance m’est bien égale
Je connais mon idéal
Dans ses moindres petits détails
Au plus profond de mes entrailles
A nos cotés j’ai compris
Ce que, j’attends de la vie
Seule tu dis avoir grandie
Mais je me suis construit
Et à grands coups de mépris
Tu te dédouanes, tu maudis
Tout ce qui fait que je connais mon idéal
Dans ses moindres petits détails
Je connais mon idéal
Au plus profond de mes entrailles
Je ne lui cours pas après
Il peut ne venir jamais
Je vis avec sans regret
Mais je le reconnaîtrai
Dans ses moindres petits détails
Au plus profond de mes entrailles
Je connais mon idéal
Et ce jusqu’à que je m’en aille
Je connais mon idéal
Dans ses moindres petits détails
Je connais mon idéal
Je le reconnaîtrai sans mal
Il me reste ces mots
A entendre de nouveau
Tous ces mots vrais ces beaux mots
Qui sur ses lèvres ne seront pas faux
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7. |
Rien A Perdre
04:07
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De doux silences se sont perdus
Entre tes mots inaperçus
Innocents, pures, pleins de vertu
Frissons inconnus ressentis
Tu tournes en rond, tu fais de l’esprit
Tu cherches à camoufler le bruit
Qui a t’il de risquer ?
Rien à perdre, tout à gagner
D’aller là où le cœur s’emballe
Rien à perdre, tout à gagner
Jusqu’au bout, il faut aller
Là, où nos cœurs s’emballent
Les yeux hagards, remplis de vie
Tu t’attends à ce que ce soit fini
Mieux qu’un rêve de petite fille
Non fabulé mais bien vécu
Tu te replies à corps perdu
Sur ton nuage : magnifique est la vue
Qui a t’il de risquer ?
Rien à perdre, tout à gagner
D’aller là où le cœur s’emballe
Rien à perdre, tout à gagner
Jusqu’au bout, il faut aller
Là, où nos cœurs s’emballent
Dans les méandres
Des « peut être », des « si »
Je me suis souvent dit
Demain n’est rien pour aujourd’hui
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8. |
Singulier
04:46
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Aujourd’hui ce que j’ai vu
Ne m’a pas réellement plu
Bien souvent confronté à ça
Mais pourtant tu n’étais pas là
Aujourd’hui je prends le droit
De te décrire, de te montrer du doigt
De te dire, ce que tu ne veux pas
De maudire tous tes faux pas
Je me décide à coucher ces lignes
Pour qu’ils ne se sentent plus victimes
De tes propos vicieux, indignes
De tes phrases dites anodines
Autant d’encre, oui va couler
Que de larmes ont été versées
Pour ne plus jamais constater
Que tes mots ont encore frappé
Libre d’être ce que l’on veut
Libre, singulier, heureux
Séparés par le temps
Unis par le sang
Un peu plus froids et distants
A chaque nouveau mot violent
Libre d’être ce que l’on veut
Libre, singulier, heureux
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9. |
Les Cartes En Main
03:44
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Aujourd’hui tout va plutôt bien, je n’ai plus peur de mon destin
Je crois que j’ai repris les choses en mains
Ce qu’ils m’ont dit ne valait rien,
Leur bonheur livré clé en mains a bien failli devenir assassin
Un peu paumé, anethésié, je n’ai pas vu le bout du rouleau
Dîtes moi à travers les lignes, dessinées, creusées sous ma peau
Je n’ai plus pieds, comme axphyxié par une eau trop salée
Plus je crois voir des signes d’une réalité devenue tarot
Plus j’y crois, plus j’hallucine par mon jeu blindé de carreau
Ces visions m’obsèdent, me possèdent
Je ne peux remettre le compteur à zéro
L’impatience me guette, me prend la tête
Le blackout est pour bientôt
Oh, que sera long votre chemin
Vous pouvez croire en vos deux mains
Non, comme toi, ils ne connaissent pas la fin
Ce qui est bien, ce que rien ne sert à rien
Maintenant que je peux voir plus loin, je n’ai plus besoin
Aujourd’hui, tout va plutôt bien, je n’ai plus peur de mon destin,
j’ai repris les choses en mains ...
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10. |
Sans Un Mot
04:01
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Nul, peut imaginer
Qu’une caresse dans le dos
Du bout des doigts gelés
Puisse faire autant de mal
Ton corps, transi, glacé
Est si doux
Tu peux bien m’enlacer
Et effleurer ma peau
Sans un mot
Tu peux recommencer
C’est à nous
Sourire pour ignorer
Ce doux baiser jeté
Un câlin tombé à l’eau
Qu’on ne peut sauver
Plus tes lèvres sont mouillées
Plus c’est doux
Ne t’excuse jamais
Pour effleurer ma peau
Sans un mot
Oh laisse toi aller
C’est pour nous
Non rien ne prendra l’eau
Entre nous
Tes doigts gelés sur mon dos
Sont si doux
Quand on s’effleure les peaux
C’est pour nous
Se toucher sans un mot
C’est : Si nous ………
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11. |
Machiangélique
03:43
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Une douce apparence
Un rire angélique
Tu galvanises et tu attires
Machiangélique
Une énergie débordante et légèrement maléfique
Ils te dévorent sans rien à dire
Une élégance proche du sublime
Nullement timide, tu oses maudire
Oh, tu rayonnes et illumines
Les moindres ombres les plus intimes
Les moindres zones les plus infimes
Envoutante, éléctro - magnétique
A l’apogée de ton magnifique
Quand tu décides à qui offrir
D’une manière des plus subtiles
Ta suave liqueur que tous imbibent
Sans souffler mot, tu contamines
Leur sans si pur d’un breuvage digne
D’un doux poison qui assassine
Une douce apparence
Un rire angélique
Tu galvanises et tu attires
Machiangélique
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Louka Brest, France
Louka, c’est un quatuor à l’énergie aussi abrasive que pure et dure. Et ca décoiffe pas mal, surtout lorsque le vent de la
rythmique souffle dans le sens inverse des aiguilles de votre montre.
C’est du rock indé, un poil heavy quand la bête pousse à la roue, mais c’est surtout du rock bien épais, du rock, du vrai, du genre qui tache et qui ne part pas, même lavé à 90°.
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